Nous approchons de la période des fêtes, et vous allez certainement recevoir des vœux. De la part de vos amis, des membres de votre famille, vous recevrez des vœux sincères et joyeux, qui vous souhaiteront, malgré la crise, d’avoir une vie plus douce en 2014 qu’elle ne fut en 2013 ou même avant.
Vous recevrez aussi, venant de groupes politiques, des vœux (parfois) plus hypocrites, non dénués d’arrière-pensées en cette période pré-électorale, des vœux en forme de promesses, de celles dont on dit qu’elles n’engagent que ceux qui y croient…
De la part du « petit Ambertois » nous vous proposons de ne pas croire n’importe qui ou n’importe quoi, mais de faire votre bonheur vous-même, de vous prendre en main, de vous mêler de ce qui vous regarde.
Un exemple de ce que l’on peut faire ensemble : une pétition portée par différents acteurs de la société ambertoise, associatifs, commerçants, citoyens, syndicalistes, a recueilli plus de 1200 signatures qui ont pesé avec succès sur les négociations avec la SNCF pour garder ouvert le guichet de la gare, qui fonctionnera bien, dorénavant, du mardi au vendredi, de 9h30 à 12h et de 13h à 16 heures.
Nous vous souhaitons à nouveau d’être vigilant, et de vous engager pour ce que vous croyez bien pour notre collectivité, dans chaque commune de notre arrondissement.
Nous vous souhaitons une année 2014 de paix, de renouveau, de confiance, une année où nous construirons ensemble. Je vous souhaite pour ma part une année combative, car il y a beaucoup à faire pour empêcher de nouvelles régressions qui seraient alors baptisées, n’en doutons pas, « réformes ».
Mais soyons résolument optimistes, et très bonne année 2014 !
GP
Merci à toute l’équipe du Petit Ambertois pour ses voeux ! Nous avons en effet besoin de nous souhaiter du courage , de la détermination dans tous les combats qui permettent la justice et le mieux- vivre entre les citoyens.
Je souhaite à toutes et à tous et à leur famille une belle santé .
Merci pour ces encouragements, Françoise, c’est un soutien dont nous avons bien besoin.
Ne pas croire n’importe qui n’importe quoi : ça s’est sûr surtout les politiques.
De se mêler de ce qui nous regarde : alors ça devient un peu de l’égoïsme et nous ne cherchons plus le bonheur des autres mais que de nos proches, très proches au détriment des autres.